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"Les enfants devraient jouer des scènes de théâtre sur le thème de la sodomie à l’école", c'est le titre d'un article du grand quotidien allemand "Die Welt"

On y apprend que, sous prétexte d'éducation sexuelle et de lutte contre l'homophobie, les petits allemands sont initiés très jeunes à des pratiques telles que le sadomasochisme, la sodomie, la partouze...

Voici la traduction de cet article (Un grand merci à Sophie G): 

 

"Dans la région de Westphalie Rhénanie du Nord (NRW), les enfants pourraient très tôt être confrontés en cours au sadomasochisme et aux clubs de rencontres sexuelles homos. Certains experts recommandent même la représentation du sexe anal dans des pièces de théâtre – y incluant les godes.  

Yvonne Gebauer s‘était déjà investie pour le respect des individus de toutes orientations sexuelles, alors que ceci n‘était encore que bien peu reconnu dans les milieux conservateurs. Il y a plus de huit ans, alors au conseil municipal de Cologne, la démocrate indépendante exhortait à la lutte contre les attitudes homophobes dans les écoles. Mme Gebauer a soutenu le projet d’information "école sans homophobie". Elle est restée fidèle à cet objectif. La porte-parole pour le système scolaire du groupe parlementaire du FPD (parti libéral-démocratique- centre droite) au parlement du Land NRW a, depuis cette époque, mis en garde plusieurs fois sur le fait que celui qui accepte aujourd’hui l’omniprésence de l’injure "pédale" dans les cours d’école ne pourra s’étonner demain de la surenchère "d’attaques violentes contre les gays".
Cependant la libérale dit aussi que l’on peut exagérer concernant la lutte contre les discriminations pour raison d’orientations sexuelles diverses. Car, il y aurait des dérives dans les cours d’éducation sexuelle. Par exemple un enfant d’une douzaine d’années pourrait déjà découvrir les pratiques sexuelles telles que le sadomasochisme, mais aussi des phénomènes comme les clubs de rencontres (les « darkrooms -clubs de rencontre »font principalement références à des lieux pour gays où le sexe de groupe est pratiqué dans des lieux à l’éclairage très tamisé). De cette façon, la honte de rigueur apparaissant dans ces situations blesserait l’enfant dans le développement de sa personnalité, avertit Mme Gebauer.

Avec cette critique, elle se réfère aux matériaux pédagogiques didactiques d’éducation sexuelle- qui sont proposés sous le titre "l'école de la diversité" aux professeurs dans toute l’Allemagne. Cet éventail de matériels conçu par des pédagogues de la sexualité et des groupes homosexuels et lesbiens consistent en des jeux de rôles, des workshops et des lectures. Ils doivent servir l’objectif de renforcement du respect envers les orientations non-hétérosexuelles. En Westphalie Rhénanie du Nord, ces offres sont recommandées et soutenues par le ministère de l’éducation et par le mouvement "l'éducation homosexuel lesbien" ("SchLAu -Malin"). C’est d’abord hors de la NRW que certaines des idées proposées dans ces cours- là ont soulevé la critique.

Depuis 2014, la protestation de l'opposition conservatrice (CDU & FDP) s’est mis en place au Bade-Wurtemberg et à Hambourg contre des propositions tout à fait semblables en pédagogie sexuelle scolaire. Les partis conservateurs en Westphalie Rhénanie du Nord au contraire sont restés silencieux. Certains dans leurs rangs espéraient, comme ils le dirent officieusement, que la coalition des sociaux-démocrates et des Verts interviendrait certainement lors de la discussion nationale afin que les idées de cours les plus contestables ne soient pas mis en application en NRW – sans que CDU et FDP. ne doivent se brûler les doigts sur ce sujet délicat. Mais il en fut autrement. Sociaux-démocrates et verts ne se sont désolidarisés d’aucun des cours proposés par « l’école de la diversité ». Et c’est pour cette raison que dorénavant le FPD au moins ne peut plus rester sur la réserve. Il veut, le plus rapidement possible entamer des discussions avec le « SchLAu » afin de « les sensibiliser sur la problématique », comme le dit Mme Gebauer.

Les notions devraient être représentées par la pantomime.
Un projet est plus particulièrement critiqué, qui serait proposé aux enfants de la 7. Classe, soit des enfants de 12 à 13 ans. Sous le titre "débat ludique sur le sujet amour et sexualité", des listes de "notions sur le thème de l’amour, la sexualité et le couple" devraient être "représentées par les élèves par le biais de la pantomime". Les auteurs de ce projet en voient la valeur dans le fait que les élèves "puissent refléter et exprimer verbalement des notions tabouisées qui toutefois sont des thèmes qui les concernent fortement". Ainsi des thèmes tels qu’entre autres "darkrooms", "orgasme" ou "SM" - abréviation pour sadomasochisme, "touchants fortement" les jeunes d’une douzaine d’années, sont considérés comme "abordés trop tôt".

Après interview, une porte-parole du ministre de l’éducation, Sylvie Löhmann (Verts), a concédé qu’un programme de cours portant ce titre existait bien. Mais: des notions correspondant à Darkroom ou SM ne se trouveraient pas du tout dans les lignes directrices. Manifestement, le ministère ne connaît pas suffisamment les matériaux d'instruction qu’il soutient. En réalité on trouve parfaitement ces thèmes sur le site web de "l’école de la diversité". Pour se faire, il suffit de cliquer sur la présentation du projet puis sur le bouton "matériel de travail".

De telles propositions de cours dépasseraient l’objectif louable de l’anti-discrimination, pense Mme Gebauer. Le renforcement du respect pour les individus non-hétérosexuels est important. Mais cela ne devrait pas se faire "au détriment du respect du sentiment de gêne de l’enfant". Afin de promouvoir la tolérance, on ne devrait pas faire simuler "un orgasme ou des stages dans un Darkroom par des élèves d’une douzaine d’années devant la classe rassemblée. La honte des enfants doit rester préservée", selon Mme Gebauer.

Une autre chose serait de préparer les professeurs au cas où des élèves chercheraient la conversation avec ceux-ci sur de tels sujets. Une telle préparation est conseillée pour que des professeurs aident des élèves s'il y a lieu dans une conversation entre quatre yeux, au cas où ils chercheraient conseil auprès d’eux. Mais l'endroit correct serait "alors justement la conversation confidentielle, non le jeu de rôles devant un public".

Sexe anal comme pièce de théâtre à l'école:
Élisabeth Tuider et Stéphane Timmermanns voient apparemment la chose autrement. Les deux sont les auteurs du livre de bases scientifique "la pédagogie sexuelle de la diversité". Celui-ci se fixe pour objectif de préciser "différentes possibilités d'identité" et "de nouvelles possibilités d'expérience" aux jeunes. C’est dans ce but que le manuel recommande entre autres, à des enseignants, de laisser des enfants à partir de 13 ans représenter de pratiques comme le sexe anal sous la forme de pièce de théâtre. Il recommande aussi de recourir à des matériaux d'instruction comme « des godes » ou «des boules vaginales », pour des élèves à partir de 14 ans. Un projet pédagogique, dans lequel des élèves construiraient « un bordel pour tous », serait en outre utile.
Dans ce contexte des gens de chaque préférence sexuelle devaient se sentir à l’aise, de plus des pratiques sexuelles telles que les "fellations" ou "cunnilingus" ne devaient pas en être absents.
Après demande à savoir si cet ouvrage est vraiment à recommander, le ministère de l’éducation de NRW se déclarait non-compétent. Il renvoyait au fait que "le choix des matériaux de cours" incombe "aux professeurs selon sa propre responsabilité".
L'experte du FDP Mme Gebauer met au contraire en garde contre la recommandation d’un livre spécialisé tellement contestable. Elle est soutenue par Johanne-Wilhelm Rörig, le chargé du gouvernement fédéral chargé de l'abus à l'enfant. Il objecte que, l'approche du livre spécialisé "est transgressif" et c'est pourquoi il n'"est pas acceptable". Chez les "filles et garçons, qui sont habitués aux transgressions, et pour cette raison seraient désensibilisés", les "agresseurs visant l'abus d'enfants auraient le jeu plus facile".
Seul le CDU du NRW s’est comporté de manière étonnamment neutre. Après interview, la politicienne responsable de l’école de la CDU Petra Vogt a déclaré qu’elle "ne peut « actuellement »communiquer l’opinion de la CDU" qui n’a "pas encore délibéré sur ce thème". L’Allemagne entière discute ardemment sur ce sujet depuis 2014, dans de nombreux Lands (états allemands – Allemagne: pays divisé en 16 Länder) le CDU avec le FPD et le AfD (parti considéré à droite de la droite) s’engagent du côté des sceptiques. Seul en NRW, l'Union n'a pas encore trouvé de position."

 

 

NB: à noter => ces dispositions choquantes sont conformes aux recommandations de l'OMS!!! 
V
ous pouvez le constater vous même en consultant
ce rapport disponible sur un site suisse  (pages 35 et suivantes). Ce rapport a été censuré sur le site français de l'OMS, pendant la polémique sur la "théorie du genre". 

En Allemagne, des élèves sont initiés au sadomasochisme et à la sodomie dès l’âge de 12 ans...
Tag(s) : #Les actualités cachées
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